[Poème] La Lumière

Le jour où je me suis aimée

J’ai ouvert mon cœur

Et à la lueur de cet instant

Je me suis laissée guider

Par cet ampleur d’amour et de générosité

Rayonnant de tout mon être

Et celui de la planète

L’âme connait le chemin

Même au plus profonds des jours célestes

Elle trouve cette force de s’élever et lâcher du leste

De briller au plus profond de l’obscurité

Qui elle ne cesse de bouillonner et de nous espionner

Avec nos pensées nous l’envoyons dans les méandres

De notre Terre Mère elle seule dotée de la Magie 

Du Monde la transcende et l’inonde d’Amour et de lumière

Chaque Etre de lumière s’emplit et se nourrit de son essence vitale

En échange s’élève tel un illustre apprenti en quête 

De trouver en lui son sage.

Que la lumière jusque dans les tréfonds des abymes qui illuminent 

Le côté sombre des marécages, souillés et salis par le masque

De vils âmes « soi-disant » sages œuvrant 

Au-devant de la scène pour la lumière 

En usant de mal faits de l’obscurité,

Que de beauté et humilité d’œuvrer dans l’ombre

Pour la lumière qui elle, douce et juste

Nous guide, pas à pas vers notre joyau intérieur

Ô Belle et lumineuse lumière, pardonne-moi

De m’être perdue vers la totale illusion de cette matrice,

Ou la vie ne tient qu’à un fil

Que mes mots te baignent d’amour et de gappé,

De tendresse et d’allégresse,

Aujourd’hui je suis fin prête à déployer mes ailes

Et de rejoindre au-delà ma mission demandée d’unifier mes frères et mes sœurs

En accédant à divers plans et dimensions prenant soin de toi en respectant

L’amour, la joie, la paix et l’harmonie

Au plus profond de notre âme et notre cœur,

Que la lumière du cœur répande tel un ruisseau semant ses minéraux,

L’or et l’argent tant doré,

O lumière éternelle explorant les merveilles de ce monde

Parfois traînée dans les caveaux de plusieurs cerveaux peu normaux

T’utilise à mal escient pour asservir un peuple endormi et endolori

Que la lumière soit le chemin de tout être cherchant l’éveil et la guérison

Amour je t’envoies de belles pensées,

Que je t’adresse Ô toi prêtresse et gardienne de toutes choses 

Canalisé par Delphine Debray